Hiro-san -Terminée-

[J'me suis finalement décidé sur le perso! XD]




Nom:
Seiishiru

Prénom:
Hiroto

Age:
17 ans

Sexe:
Masculin

Sexualité:
Bi. Tendance homo.

Dominé(e) ou dominant(e)?:
Tout dépend de qui. Mais il est généralement dominé. Pas par son caractère, parce qu'il aime ça simplement xD




Physique:
Hiroto n'est pas quelqu'un de très très androgyne mais, disons-le, il n'est pas nécessairement des plus masculins non plus. Le jeune homme à un corps aux formes très fines et bien couper, musclé juste là où il faut et juste comme il le faut, sans exagération, juste pour dire qu'il a des muscles! Sa peau est plutôt foncé, lui donnant une apparence de quelqu'un ''bronzer'' alors que c'est purement naturel. Son visage à des traits plutôt fins, encadré par des cheveux lui arrivant presqu'aux épaules dans un dégradés. On pourrait dire que ses cheveux sont brun-rouge. Ses yeux couleur azure sont souvent rehaussé par de l'ombre à paupière tandis que ses lèvres, plutôt pulpeuse, sont souvent mise en évidence avec du brillant à lèvres. À croquer le petit, n'est-ce pas?

Caractère:
Disons-le, Hiroto n'a pas la petite attitude parfaite. Au contraire, toujours en train de faire une connerie ça et là, dormant dans ses cours ou encore, séchant directement l'école lorsqu'il en a trop envie, peux faire en sorte d'attirer bien des problèmes au jeune homme. Mais ce n'est pas pour autant que ses notes baisses! Oh non. Malgré sa popularité et son attitude rebelle, Hiroto est très intelligent et il passe généralement très bien ses cours. Il mémorise facilement ou alors, à parfois recourt aux ''intelo'' pour l'aider à comprendre et croyez moi, il sait les convaincre puisqu'il trouve généralement sa clientèle chez les jeunes demoiselles timides et fragile. Tombeur lorsqu'il le souhaite, chiant lorsqu'il en a envie, il ne se laisse pas marcher sur la tête. Saurez-vous dressé cette bête?

Problème de santé?:
Il consulte secrètement un psychologue pour gérer son traumatisme.



Un éclate de verre, de l'eau au sol sur le magnifique plancher qui semblait venir tout juste d'être ciré. Des cris, des engueulades. Le petit Hiroto se tenait là, à observer la scène de ménage de ses jeunes prunelles.

Papa et maman se querelles à nouveau. Papa est grand, fort! Papa est un monsieur qui aime les gros fusils. Il l'a dit lui-même; ''Les armes sont mes maîtresses''. Les fusils sont capable de faire apprendre des choses? Je ne le sais pas. Je ne comprend pas encore tout. Je n'ai que 5 ans. Maman, elle, elle est très belle. Elle dit que papa est vilain, qu'il lui fait toujours du mal. Mais elle n'est pas capable de lui dire! Maman à souvent des bleus, des marques sur les joues, les bras. Elle se coupe souvent au travail, qu'elle me dit, aussi. Mais elle ne sait pas que je ne la crois pas. Je l'ai vu, avec papa. Il tenait un couteau. C'était il y a deux jours. Maman dit aussi qu'elle voudrait partir, m'emmener avec elle. Mais pour allé où? Je l'aime moi papa, je ne veux pas partir, je veux rester avec lui... Nounou est là. Elle arrive, toute paniqué, alors que je ne vois pas pourquoi. Je la regarde, avec mes grands yeux en lui demandant pourquoi maman a brisé le verre sur le mur, c'était son verre préféré, non? Elle me serre contre elle, mais moi je ne veux pas. Je veux papa. Papa est grand et fort! Papa saurait me protégé. Ce n'est pas une domestique qui fera de moi un homme comme papa! Mais je ne peux pas la repoussée, elle m'aime beaucoup, elle aussi. Elle m'emmène, plus loin, et me dit que tout ira bien. Mais qu'est-ce qui ira bien? Maman ne s'est pas couper avec le verre, et papa n'a pas sortit son couteau. Ils ne font que s'amuser à se chicaner, n'est-ce pas? Ils jouent bien la comédie, je trouve, moi. Papa doit être comédien. Il est toujours avec des grands monsieur, comme lui, habillé tout propre comme ''James Bond'' dans ses films! Je veux être comme lui, je veux lui ressembler, c'est mal?

Hiroto est trop jeune, il ne comprend pas. Son père est un Yakuza, sa mère est cuisinière pour un restaurant quatre étoiles. Ils s'engueulent car ils vont se séparer.

Maman fait ses valises aujourd'hui. Je la regarde faire avec un grand sourire. Est-ce qu'on va en voyage? Je regarde papa, lui, il est dans le salon a parler au téléphone. Maman va en voyage seule? C'est pour son travail? Je sais pas, je crois que oui. Elle m'embrasse sur le front et me dit qu'elle m'aime. Mais je t'aime aussi maman! Maman, pourquoi tu pleures? On se reverra bientôt, non?

Et pourtant, elle n'est jamais revenue. Et pourtant, la vie est bien mieux. Ils ne s'engueulaient plus, et son père le chérissait comme personne ne l'aurait fait. Mais il avait bien une idée derrière la tête. En effet, lorsqu'il eut douze ans, son père commença à invité des hommes de toutes sortes à la maison. Ils venaient tous regarder Hiroto qui était rendu des plus magnifiques.

Mon père me disait que c'était des hommes de son travail. Qu'ils étaient là pour lui et pour leur prochains contrats. J'ai compris que mon père n'était pas comédien. Je ne suis plus stupide, il fait parti de la mafia japonaise, ou quelque chose de semblable, il tue des gens... Mais pourtant, tout ces hommes, aussi bâtis et grands soient-ils, ont leur regards porté sur moi. Et alors? Vous voulez une photo? Un moment donné, mon père se lève et m'emmène dans ma chambre. Il dit qu'il veut me parler mais il sort des menottes. Il me plaque rapidement contre le lit et m'attache les mains. Mais mon père est toujours aussi fort, plus que moi. J'essaie de me déprendre mais rien ne fonctionne. Mais mains son relié aux barreaux de mon lit, il appelle les hommes qui me dénudes en moins de deux. J'ai peur, je tremble, j'ai mal. Ils me font tous du mal et depuis, ça ne cesse plus. Chaque soir, c'est presque toujours pareille. Je suis fatigué, épuisé. Je veux que ça s'arrête. Je n'ai plus mal physiquement, j'ai mal au coeur, c'est étrangement différent. Mais un jour, un homme arriva. Il était vraiment beau celui-là. Il me retira les menottes et pourtant, il ne me forçait pas. J'ai aimé, vraiment, contrairement aux autres. Il est revenu plusieurs fois. Mon père a découvert ce que je ressentais, il m'entendait, il voyait que j'aimais. Il voyait que je l'aimais lui. Il m'emmena un soir dans une partie de poker. Ce n'était pas ça. Ils m'ont attaché à une chaise et m'ont menacé de me tuer. Je ne devais pas l'aimer. Pourquoi? Ils avaient peur que je ne veuille plus coucher avec les autres? Je ne voulais déjà pas. Mon père finit par les arrêter en me voyant ainsi, traumatisé, la lame sous la gorge, les larmes qui coulaient toute seules. Il me dit que j'allais le quitter. C'est parfait. Il m'envoie dans une école avec un bon nombre d'argent mais avant de me détaché, il me demande de regarder. J'étais devenu sa compagnie, il m'explique tout ça et il sort un fusil. Il l'appose à sa tempe et tire. Papa, je t'aime. Reviens moi. Tu es grand et fort, n'est-ce pas? Tu ne me laissera pas parmi cette école, n'est-ce pas? Je t'aime, tu es fort, je le sais, reviens...




Spécialité:
La musique. Quelle question!

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[ok Nini]

super limage